La FEMA teste le système d'alerte d'urgence dans tout le pays le 4 octobre

Tests de la FEMA pour garantir le bon fonctionnement du système. Si le test doit être reporté pour quelque raison que ce soit, un suivi aura lieu le 11 octobre.

La semaine prochaine, deux agences fédérales américaines procéderont à un test conjoint à l’échelle nationale du système d’alerte d’urgence sans fil (WEA) du pays.

L'essai, annoncé pour la première fois en août, est prévu le mercredi 4 octobre et débutera vers 14h20. ET. Il verra le Agence fédérale de gestion des urgences (FEMA) et Commission fédérale des communications (FCC) tente d'envoyer un message à tous les téléphones portables grand public aux États-Unis. Selon les agences, l'alerte devrait arriver d'ici 30 minutes.

Une photo d'une alerte présidentielle envoyée via le système national d'alerte d'urgence sans fil

Théo Wargo/Getty Images

"CECI EST UN TEST du système national d'alerte d'urgence sans fil. Aucune action n'est nécessaire", indiquera le message, en anglais ou en espagnol, selon les paramètres de langue de l'utilisateur. Si quelque chose, comme un événement météorologique violent, nécessite de retarder le test, une tentative de suivi aura lieu le 11 octobre.

Dans le même temps, la FEMA et la FCC procéderont à un test du système d'alerte d'urgence (EAS) du pays. Elle durera environ une minute, avec la participation des diffuseurs de radio et de télévision. "Le but de l'Oct. Le test 4 consiste à garantir que les systèmes continuent d’être des moyens efficaces d’avertir le public des situations d'urgence, en particulier celles au niveau national", a déclaré la FEMA dans un communiqué de presse annonçant la test.

En 2018, l'Agence de gestion des urgences d'Hawaï envoyé un message par erreur avertissant les habitants d’une attaque imminente de missiles balistiques. Il a fallu 38 minutes à l’État pour envoyer un message de suivi informant les gens que l’avertissement initial avait été envoyé par erreur. L'incident a finalement conduit la FCC à enquêter sur l'affaire et à la démission de l'administrateur de la gestion des urgences de l'État.